Tous les costumes sont des créations personnelles. Normalement, un costumé ne s’inspire pas d’une autre création. Chacun crée son modèle.

Certains s’inspirent des costumes traditionnels comme M. le marquis :

Ou madame la danseuse espagnole :

Les femmes représentent souvent des marquises, mais pourtant, aucun costume ne se ressemble.

D’autres créateurs s’inspirent de personnages de mythologie comme les mages :

Ou les diables :

Oui, je sais, la photo fait un peu peur, sûrement une histoire de lumière puisque j’étais sous le porche et que le petit diable était à la lumière du soleil.

Pour d’autres, ce sont les fées :

Cette autre dame s’est inspirée d’un jeu de carte, nous l’avons surnommée la Dame de cœur :

Cette autre costumée s’est tout simplement inspirée de ses anciens costumes.
 

Les longues journées au sec se succèdent. Au sec ne signifie pas sans humidité tombée du ciel. Mais ce n’est pas comme être mouillé, trempé d’eau douce de la gravière ou d’eau salée de la mer lointaine… Alors c’est bien connu, pour tenter de combler le manque, il y a des dérivatifs classiques comme le chewing-gum, le foot à la télé avec des bières ou l’alcool. La judokate palmée préfère s’adonner à la pâtisserie. Voici une recette.

Prenez une judokate palmée très en manque. Mettez-là dans une cuisine avec un cahier de recettes.

Faites agir la gourmandise une bonne demi-heure. Laissez la judokate palmée s’agiter tant que nécessaire car elle ne supporte pas de ne pas remuer.

Laissez-la s’exprimer parce que tout simplement vous en profiterez dès que ça sortira du four…

Vérifiez que rien n’obstrue le tuba. Plus simple, affirmez-lui qu’elle peut ôter l’embout un instant pour évaluer la qualité de la préparation.

Ne la contredisez pas trop, attendez que ça refroidisse après cuisson et dégustez sans modération :D

À suivre…

Direction Lingolsheim puis la gare de Strasbourg, à l’entrée de la gare nous retrouvons Bénédicte et Jean-Claude qui ne voyageront pas avec nous mais que nous retrouverons à Paris. Sur le quai, quelques minutes avant l’arrivée du train, Yasmina nous rejoint avec un sac rempli du petit déjeuner.

Une fois installé dans nos sièges, nous déballons et attaquons le petit déjeuner, il ne faudrait pas oublier que c’est le repas le plus important de la journée. Petit pains au chocolat, croissant, café chaud et jus d’orange…

Le trajet est passé vite, chacun y est allé de son petit programme, le mien n’est pas compliqué, à peine chargé, à l’arrivé, tout de suite, à 11h, je voudrais assister à une conférence sur la faute pénale en plongée ( je ne sais pas pourquoi, mais ça ne motive pas grand monde), ensuite, je voudrais m’inscrire pour un baptême en recycleur avec les beaux militaires, ensuite le tour des stand, je voudrais me trouver un livre d’initiateur et me le faire dédicacer, assister à une projection en 3D sur les Bahamas à 17h, rencontrer Super Ben, me trouver un T-shirt et bien sur, trouver un hippocampe. Dans tout ce programme, il faudra trouver un moment pour trouver des infos pour un masque correcteur, passer au stand plongée mag et au commissariat général pour récupérer notre cadeau pour notre participation au concours de photo.

Yasmina et Bénédicte veulent glaner des infos pour le prochain voyage club. Franck veut se trouver un bouquin. Vanessa doit passer au commissariat général aussi pour la concours, chez plongée mag, finaliser l’organisation de son prochain voyage chez ultramarina, tester du matériel aqualung et faire un baptême de recycleur, mais elle ce n’est pas forcément avec un beau militaire.

A notre descente du TGV, nous nous retrouvons tous, sur le quai, nous croisons deux autres plongeurs alsaciens qui sont aussi en route pour le salon, et filons nous engouffrer vers le métro. C’est là que je me souviens de ce que Homo palmus m’avait conseillé, un bloc pour avoir de l’air frais dans le métro… Un premier métro, un couloir, encore un couloir, un escalier, encore un couloir et un escaler, un deuxième métro, un escalier, un couloir, un escalier et nous voilà à l’air libre. Une première grille du parc des expositions, nous suivons la foule, pas de souci, sur les casquettes, on peut reconnaître le petit poisson IQ et sur le sac des marques de matériel, pas de soucis, on est dans la bonne direction.

Un tapis roulant, un tapis roulant, encore un tapis roulant… et nous voilà arrivés en haut… mais là .

Première surprise de la journée, il y en a au moins pour 30 minutes de queue pour avoir les billets, la conférence que je voulais suivre commence dans 15 minutes… tant pis, je jouerai ma juriste la prochaine fois.

Après 45 minutes de queue, nous entrons enfin dans le hall qui accueille le salon, avant les vestiaires, nous retrouvons enfin Homo palmus qui a déjà fait tout le tour, il avait prévu de faire l’ouverture pour avoir le temps de faire tout ce qu’il avait à faire. (link).

Nous passons tout suite au commissariat général pour récupérer notre cadeau, un DVD du film voyage sous les mers en 3D. Comme Homo palmus, nous l’avons testé tout de suite en rentrant, mais le système 3d n’est pas encore au point et Céline n’a pas trop apprécié les requins en 3D.  

Après les vestiaires, nous ne pouvons faire autrement que de remarquer le stands des PPo2max, ils sont stratégiquement placés près de l’entrée… ou près de la sortie, comme on veut. Est ce une réaction au fait que l’année dernière, les videurs ont du nous faire sortir 1 heures après la fermeture du salon ?

Déambulant dans les allés, nous trouvons vraiment une caverne d’Ali Baba pour un plongeur :

Enfin, ça… je ne sais pas trop si c’est du matériel tout neuf, je crois que c’est plutôt une occasion.

Ensuite, direction la piscine, pour nous inscrire pour notre baptême. RDV est pris à 14h.

Nous passons ensuite sur les différents stands que nous devions visiter, Homo palmus et Vanessa seront arrêtés un bon moment chez Ultramarina pour finaliser leur prochain voyage.

Direction St Eustache pour le printemps, ils ont de la chance, la directrice du centre qu’ils vont fréquenter est sur le stand, Homo palmus va pouvoir poser toutes ses questions.

Mais l’appel de l’estomac se fait sentir, malgré le bon petit déjeuné avalé il y a déjà… trop longtemps.

Il est temps de faire une pause avant de poursuivre notre journée marathon.

PETITE CONTRIBUTION DE HOMO PALMUS EN VISITE EN ALSACE CET HIVER


C’est l’hiver, avec sa météo à ne pas mettre un plongeur dehors. Les mers tropicales chaudes et claires lointaines sont lointaines, justement. La Méditerranée l’est également. La gravière a gelé, emprisonnant les pattes des canards dans la glace. Le judo, ça va, ça continue. Le dojo est chauffé et plusieurs fois par semaine des groupes de personnes en pyjama blanc reviennent se massacrer mutuellement dans le plus pur respect de la tradition. Mais la plongée…

Bref, la judokate palmée est en pleine phase « low », dans cet intervalle de surface interminable où le manque (d’azote) devient insupportable. Alors, c’est plus fort qu’elle, son corps réclame !

Elle n’en peut plus, elle cherche à retrouver cet état de béatitude extrême. Mais que faire ? Le premier réflexe est de refaire corps avec son équipement. Pour des raisons évidentes, les autres membres de la famille ne lui permettent pas de vivre dans sa combi de néoprène conservée dans l’humidité pour qu’elle ne perde pas cette délicieuse odeur… Alors elle se contente de porter palmes, masque et tuba.

Comme ça ne suffit pas, elle s’installe de longs moments dans la baignoire, sorte de réduction en miniature de la gravière, les scooters en moins, pour rêver.

Est-ce une forme d’expression de cette quête instinctive de la vie fœtale perdue ? Celle de ce bain de sérénité durant cette interminable immersion en eau chaude ?

À suivre…

Chez nous, on a  plutot l’habitude et se ne sont pas quelques petits centimètres de neiges qui vont nous refroidir pour nos activités diverses. Les voitures sont équipées de pneus hiver,  et les humains , de bottes de neige qui tiennent chaud et qui ne glissent pas.

Nous, la neige, on aime bien surtout quand elle ne tient pas trop sur les routes, on s’y fait et bien sur, la tradition c’est que chaque maison ait son bonhomme de neige :

Céline le trouve moche, moi je trouve qu’il est plutôt réussi, en tout cas, il ne risque pas de fondre de ci tôt.

Ça c’est ce que j’aurais mis en ligne dimanche soir.

Lundi, il a reneigé, c’était déjà un peu plus embetant. La neige tient bien sur la route et pour les créneaux, c’est un peu plus compliqué parce qu’avant de pouvoir monter sur les trottoirs, il faut passer un petit tas de neige mis sur le coté par les chasses neige.

Ça c’est ce que j’aurais pu mettre en ligne lundi soir.

Mais ce matin en me levant :

Et voilà le résultat, il est tombé presque 5 cm de neige depuis dimanche.

Et en tout, Rosheim se retrouve sous 12,5 cm de neige.