24 octobre 2013
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Descendre sur une épave, c’est comme jouer au loto, on sait que l’épave est au bout du bout, sous la gueuse, mais on ne sait jamais si elle va se dévoiler ou rester cachée.
Cette année, nous avons visité trois épaves, le SAUMUR, l’ASTREE et l’incontournable BANANIER.
Le Saumur nous a offert une visibilité très très réduite. Pour les photos, nous nous sommes contentées d’éléments précis et n’avons même pas tenté les photos d’ambiance.
Pour ce qui est de l’Astrée, Homo palmus voulait visiter l’avant, il est relié au corps de l’épave par un bout et la visite n’est possible qu’avec des N3, nous avons légèrement dépassé les 40 mètres. Mais pour ce qui est de la description de l’avant… nous reviendrons, parce que le petit courant ambiant n’a pas suffi à nettoyer l’épave.
La troisième épave, le bananier, la plus belle et la plus grande de la côte nous a offert un joli spectacle. Trois belles plongées avec à chaque fois une belle visi qui nous a permis de faire de toute sorte de photos.
Les cheminées sont toujours autant colonisées de belles anémones bijoux.
Plus loin la double mitrailleuse est toujours debout au milieu des poissons.
Le support de mitrailleuse se révèle plus ou moins selon les jours, la lumière varie.
A l’avant le canon se dresse toujours fièrement. Tout comme le mat qui est toujours là lui aussi, toujours aussi droit et toujours aussi impressionnant.
Published by la judokate palmée