Comme chaque année, tous les plongeurs de France d’ailleurs se retrouvent au salon de la plongée de
Paris.

Après 4 heures de sommeil dans les jambes, me voici, tôt le matin (trop tôt) dans un TGV plein de petits
vieux sentant la naphtaline, pressés d’arriver pour visiter des musés… mais quelle idée…
Après quelques heures de voyage que je n’ai pas vu passées me voici en Gare de l’Est, heureusement que
Nénette et son Homgrenouille sont venus me cherche pour me guider. Après deux métros, nous voici au salon de la plongée. Cette année, nous sommes tous invités, mais seuls Nénette et Homgrenouille
ont eu le droit à un cadeau, pour moi, c’est un billet d’entrée et un ticket pour le vestiaire. C’est déjà pas mal.
En arrivant, Homgrenouille se rue sur un stand un peu particulier. A la vue de l’enseigne, je me dis que ce
stand va me plaire…

Mais en y regardant d’un peu plus près, c’est beaucoup trop technique pour moi surtout que mon cerveau n’est
pas encore totalement réveillé de la nuit terminée dans le TGV.

Quelques minutes plus tard, c’est Homo palmus et Vanessa qui nous rejoignent dans le parc des expositions qui
commence à ressembler à une fourmilière. Eux aussi ont des intentions de quête de renseignements et d’achats. Dans la cohue des allées, il est très compliqué de s’arrêter pour observer du
matériel. Ce n’est pas l’endroit pour prendre son temps pour choisir son matériel, mieux vaut avoir fait quelques recherches préalable. A tous les stands, c’est la même chose, si tu as achètes,
les commerciaux sont présents, pour les questions techniques « envoyez-nous un mail »…
Heureusement, c’est déjà l’heure du pique-nique, ce qui va calmer un peu les esprits.

Dans l’après-midi, Homo palmus et Vanessa arriveront quand même à finaliser un achat parmi tous ceux prévus,
l’occasion encore une fois de faire un gros chèque.

Après plusieurs heures de marche, les pieds en compote et les comptes bancaires plus légers, nous quittons le
salon, et pour une fois, la première fois depuis que nous visitons le salon, nous sortons avant l’heure de fermeture.

Bilan du salon, comme d’habitude, j’ai rêvé en regardant des images d’hypothétiques futurs voyages que nous
je ne pourrais me payer qu’avec un indice sur les numéros du prochain Euromillion, j’ai pu observer des magnifiques photos que je n’arriverai jamais à égaler et j’ai presque craquer sur des
hippocampes que je n’aurais pas pu rapporter en avion… Mais, j’ai passé une excellente journée et l’année prochaine, j’espère encore pouvoir retourner au salon et y rencontrer à nouveau plein de
gens passionnés.