Pour cette dernière journée à Pau, Homo palmus et moi sommes partis pour un road trip à la découverte de curiosité de la région palloise.
Première étape, une petite rando pour rejoindre la passerelle de Holçarté. Le souci, c’est que la météo paloise était au rendez-vous, la pluie était de retour et les vestes de pluie indispensables.
Après une longue ascension le long d’un tombant impressionnant, nous arrivons à la passerelle. Construite en 1920, elle relie les deux cotés de la gorge d’Olhadubi profonde de 171m.
C’est là que je me rends compte que Homo palmus est beaucoup plus à l’aise sachant qu’il y a 40m d’eau au dessus de lui que quand on lui dit qu’il y a 40 cm d’eau qui coule 171m plus bas.
Il réussira tout de même à traverser la passerelle surnommée depuis «le pondlamorkitu ».
Une fois de retour dans la voiture, pour nous remettre, nous avons mis une claque à un paquet de gâteaux avant de rejoindre la prochaine étape.
Petit arrêt au château de Mauléon. C’est un château fort construit au XIième siècle qui surplombe un charmant village aux ruelles étroites.
Nous n’aurons pas plus de détail sur ce château qui est fermé durant la saison d’hiver. Juste le temps de faire quelques photos et d’admirer la vue magnifique par ce temps avant de rejoindre la prochaine étape.
Prochain arrêt, la ville de Navarrenx.
Cette ville a gardé toutes ses fortifications et il est possible d’en faire le tour en suivant les remparts.
Le guide indique que par beau temps, de la première tour, on peut admirer une superbe vue sur les Pyrénés… euh… bon, on reviendra.
Il y a encore toutes les tours qui sont chacune dédiées à une activité. La première est plutôt une tour de guet.
Une tour a été transformée en théâtre, c’est la tour des échos.
Toutes les autres ont plutôt une utilité militaire.
La particularité, c’est qu’elles sont reliées entre elles par des souterrains. Vue la météo, ils sont pour la plupart inondés, mais nous en emprunterons quand même un pour voir où il mène.
Merci l’appareil photo adapté à la faible luminosité.
Après tout ces efforts, nous avions besoin d’un peu de réconfort en soirée.
Je ne pouvais pas quitter Homo palmus sans jeter un coup d'oeil dans ses albums photo pleins d'hippocampes.
J'ai eu le droit de repartir avec les doubles.
Et voilà, c’était mon dernier jour de tour de France, le lendemain, réveil beaucoup trop tôt pour prendre un premier avion direction Paris qui aura 20 minutes de retard, puis un second avion pour Strasbourg. Laurent m’avait dit, tant que ce n’est pas un Fokker 100, pas de souci. Bien sûr, en regardant l’avion, c’était un fokker 100. Heureusement, le voyage finira sans encombre.
Merci à tous mes hôtes durant ce petit tour de France et vivement le prochain.
Toutes les photos de mon Tour de France sont regroupées dans un nouvel album.