[Petite contributions Homo palmusienne]
Non que je veuille prendre la défense des Parisiens après la liste d’articles dédiés, mais il faut tout de même remettre les choses à leur place. Les parisiens sont fous, soit, et pas seulement, certes. Mais ils ne sont pas les seuls. De l’autre côté de la frontière de l’Est, entre la capitale d’Alsace du Nord et son aéroport, se niche un bourg possédant des étrangetés.
Les habitants aiment construire en matériau local : le grès rose. C’est bien pour les maisons, mais pour un bateau, c’est peu adapté. Alors, pour éviter qu’il se comporte comme un sous-marin belge une journée de portes ouvertes, ils ont décidé de le mettre à côté de l’eau. Logique. Et pour être bien certain qu’il ne s’échappe pas tout seul au gré du vent, ils l’ont doté d’une belle ancre.
Ces administrés bâtisseurs n’ont certainement rien fait sans l’accord préalable de leur administration. A sa tête, le bourgmestre s’assure du bon fonctionnement de sa commune. A ce titre, pour prévenir toute gêne provoquée par le non-respect de consignes sur la voie publique, il fait poser des panneaux explicites comme celui-ci :
Et pour bien affirmer l’autorité à l’origine de la directive, il signe de sa fonction.
Donc ? N’avais-je pas raison ? Les Parisiens ne sont pas les seuls fous. D’ailleurs, pour de nombreuses autres preuves, il suffit de suivre les aventures d’Obélix, ce grand voyageur qui a visité de nombreuses contrées, toutes pleines de fous.