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30 décembre 2009 3 30 /12 /décembre /2009 15:03

Cet automne, j'avais décidé de me remettre au ski. Michel, un judoka a pris cette affirmation très au sérieux et m'a emmenée au ski juste avant Noël.
La date a été fixée, le lieu choisi en fonction de la présence de neige et nous voila parti ce 22 décembre pour une journée de ski.

En arrivant sur place, direction la location pour Roxane et moi et quelques minutes plus tard, nous voila en haut de la piste.

DEPART.jpg



Comme vous pouvez le constater, j'ai quand meme pris la peine de louer un casque en plus de mon équipement. Je ne suis pas tombée à la première rémontée en tire-fesses, je suis assez fière de moi.

Nicolas rigole déjà pendant que Roxane ( qui souhaite rester anonyme sur la photo) réajuste son masque.

ROXANE



Et c'est parti pour la première descente.

POSITION PREMIERE DESCENTE



OK, vu ma position, je crois que le casque n'était pas de trop. Il va me falloir quand même une ou deux descentes histoire de reprendre mes marques.

La météo n'est pas franchement clémente ...

PISTE ET NUAGES



et voici que je suis trahie par mon masque, seul vetement de ski que j'avais conservé d'une lointaine époque et qui n'a pas trop aimé les conditions de stockage.

PETIT RAMONEUR AUX SPORTS DHIVER



Après avoir pris la moitié de la mousse de mon masque dans les yeux à cause du vent, Roxane m'a preté le sien et a pris un autre.
Nous voila donc parées et nous sommes repartis à l'assaut de la piste bleue.

ROX ET MOI DESCENTE 1

ROX ET MOI DESCENTE 2



ROX ET MOI DESCENTE 3

























La position est quand même un peu meilleure, mais ce n'est toujours pas parfait. Je laisserai les autres se lancer sur la piste rouge et je finirai la matinée sur la bleue.

Le temps se gate, il est grand temps d'aller se réchauffer autour d'un repas pris au chaud et au sac.
L'après-midi, nous avons encore fait quelques descentes, mais la pluie et les arrets de télésiège ont eu raison de notre motivation et, trempés comme des soupes, nous sommes rentrés à la maison.


Merci à Michel, Nicolas et Roxane pour cette sympathique journée et rendez-vous la prochaine fois, avec du soleil... enfin, si vous voulez bien m'emmener encore une fois.
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commentaires

L
<br /> Pas que des matins. Il n'y a pas de 6e sens, ou plutot je ne sais pas ce qui fait croire a un 6e sens. Il y a aussi l'instinct de survie qui prend le pas sur l'esprit depassé pour sauver le tout.<br /> Va expliquer ca scientifiquement...<br /> <br /> <br />
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L
<br /> J'ai plutot le sentiment que quand on se dit qu'on ne le "sent" pas, ca signifie quelque chose d'autre qu'une simple impression. mais je ne sais pas l'expliquer<br /> <br /> <br />
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L
<br /> C'est le 6ième sens du plongeur. Il y a des matins où il faut savoir rester au lit malgré l'appel de l'azote.<br /> <br /> <br />
L
<br /> Oui, c'est vrai. mais ce qui pousse a sentir ou pas les choses favorablement est interessant. ce n'est pas un 6e sens, c'est necessairement un procede cognitif et sensitif qui me semble intriguant<br /> <br /> <br />
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L
<br /> C'est peut etre simplement le fait de ne pas etre pret psychologiquement à faire qq chose qui nous pousse à etre moins à l'aise et à ne pas prendre de plaisir.<br /> <br /> <br />
L
<br /> Ca m'est deja arrive de plonger avec des gens qui restent dehors. d'ailleurs, je l'ai souvent fait moi aussi. je ne sais pas pourquoi, entrer est un acte qui se fait par reunion d'un ensemble de<br /> facteurs sentis sur le moment. c'est pas tres scientifique et c'est surement pas tres raisonne non plus...<br /> <br /> <br />
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L
<br /> Il ne faut pas rentrer quand on n'en a pas envie. C'est comme la plongée, on plonge quand on est en forme et qu'on en a envie, sinon, on n'apprécie beaucoup moins la plongée.<br /> <br /> <br />
L
<br /> Sabrina ! Chuuut ! Voyons ! C'est pas bien ! On n'entre pas ! Les photos le montrent d'ailleurs...<br /> <br /> <br />
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L
<br /> Non, on ne rentre pas. Je leur ai dit qu'on suivait toujours son guide de palanquée et que si éventuellement, un jour, dans des supers conditions, on ne pouvait pas faire autrement que de rentrer<br /> dans une épave, il fallait le faire avec quelqu'un en qui on peut avoir confiance et qui connaissais l'épave. On ne dépasse jamais ses prérogatives et on surveille son mano. Ainsi, on minimise les<br /> risques tout en se faisant plaisir.<br /> <br /> <br />