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Comme l’été arrive, que le mois de mai sera parsemé de jours fériés, j’ai envie de vous faire partager l’expression de circonstance.
Elle sort souvent le midi, quand Sylvain doit gérer les groupes de baptêmes, ceux du matin qui ont encore une dernière question et ceux de l’après midi, trop pressés qui n'ont pas réglé leur montre à l'heure catalane.
C’est là qu’il vous sort, l’éternel mais efficace :
Pas de violence, c’est les vacances…
avec l'accent bien sûr
Drôle de paradoxe pour celui qui travaille pendant que tout le monde apprécie les belles plongées organisées par le DP de choc d’Argelès sur mer.
